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1.
European Respiratory Journal Conference: European Respiratory Society International Congress, ERS ; 60(Supplement 66), 2022.
Artículo en Inglés | EMBASE | ID: covidwho-2254166

RESUMEN

Introduction: Covid-19 and tuberculosis (TB) coinfection are rarely described. The aim of our work was to study clinical, biological and radiological characteristics of COVID-19 and TB coinfection. Method(s): It was a retrospective study of patients with confirmed COVID-19 and TB coinfection who were admitted our department between January 2021 and February 2022. Result(s): During study period, 788 were hospitalized for COVID-19. A total of seven patients had COVID-19 and TB coinfection. All patients were moderate to severe clinical form of COVID-19. The median age was 38 years [16-86]. There was a male preponderance 71.4% (sex-ratio = 2.5). All patients were vaccinated against TB. TB was pleural in two cases and pulmonary in five cases. The most common clinical signs found in our population were: cough and fever in five patients. The biological assessment objectified biological inflammatory syndrome in 71.4%, lymphopenia in 71.4% and elevation of D-dimer in 42.9%. All patients had a chest CT that showed condensation in 42.9%, cavities in 42.9% and ground glass opacities in 71.4%. The mean extent of CT lesions was 33.5%. The median length of hospitalization was six days. Conclusion(s): There is a little data of COVID19-TB coinfection. All patients were vaccinated against tuberculosis and had mild to moderate clinical form.

2.
European Respiratory Journal Conference: European Respiratory Society International Congress, ERS ; 60(Supplement 66), 2022.
Artículo en Inglés | EMBASE | ID: covidwho-2265032

RESUMEN

Introduction: Acute respiratory failure is the main indication for ICU admission in COVID-19 patients. Most of these patients will require invasive mechanical ventilation (IMV). Aim(s): Identify predictive factors for IMV in Tunisian patients with COVID19 hospitalized in intensive care unit (ICU). Method(s): Cross sectional comparative study conducted in Rabta hospital in Tunis, Tunisia from January 2021 and December 2021. Patients with laboratory confirmed COVID-19 admitted in ICU department were enrolled. Clinical, biological and radiological features of all patients were assessed. Patients requiring MV (G1) and those no (G2) were compared. Result(s): A total of 95 patients were included (61 in G1;34 in G2). There was no significant difference between the 2 groups regarding to age or gender. However, comorbidities such as dyslipidemia, stroke and hypertension were more frequent in G1. Among symptoms, anosmia and confusion were predictive for IMV. Patients with anosmia and confusion had respectively 45% and 25% higher risk for IMV. C-reactive protein (CRP) level (95% in G1 VS 89% in G2;p=0.003), D-dimer rate (86.5% in G1 VS 60% in G2;p=0.008) and severe radiological extension (>50%) (64% in G1 VS 35% in G2;p=0.08) were significantly higher in G1. Conclusion(s): Among ICU admitted patients, comorbidities, neurological symptoms, elevated rate of D-dimer and CRP and important radiological damage are the main risk factors for requiring IMV.

3.
4.
European Respiratory Journal ; 58:2, 2021.
Artículo en Inglés | Web of Science | ID: covidwho-1704026
5.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):123, 2022.
Artículo en Francés | ScienceDirect | ID: covidwho-1586676

RESUMEN

Introduction L’infection au COVID-19 est considérée actuellement comme une maladie systémique pourvoyeuse de complications thromboemboliques. L’objectif de notre étude était de préciser la prévalence de l’embolie pulmonaire (EP) chez des patients atteints de formes sévères de pneumonies COVID-19 et de déterminer le profil clinique, biologique et évolutif de cette association. Méthodes Une étude rétrospective des patients atteints de COVID-19 hospitalisés dans notre service entre septembre 2020 et juillet 2021. Nous avons comparé 2 groupes de patients : G1 pneumonie COVID-19 compliquée d’embolie pulmonaire (n=30) et G2 pneumonie COVID-19 sans embolie pulmonaire (n=511). Résultats Nous avons colligé 541 patients (303 hommes et 238 femmes). L’embolie pulmonaire, présente dans 5,5 % des cas, était diagnostiquée à l’admission chez tous les patients du premier groupe. Il n’y avait pas de différence significative concernant l’âge moyen entre les 2 groupes (61 ans versus 62 ans). Le tabagisme était plus fréquent dans le premier groupe (p=0,01). Les antécédents de diabète, d’hypertension artérielle, de néoplasies ou d’obésité n’étaient pas des facteurs de risque de survenue d’EP. Les signes fonctionnels étaient comparables dans les 2 groupes en dehors des douleurs thoraciques plus fréquentes chez les patients compliqués d’EP (p=0,01). Le taux moyen des D-dimères était plus élevé dans le premier groupe (5360 versus 1311μg/L). Les 2 groupes étaient comparables concernant les besoins moyens en oxygène (10,9 versus 9,5 litres par minute) et la durée moyenne d’hospitalisation (10,8 versus 9 jours). L’embolie pulmonaire n’était pas associée à un risque plus accru de transfert secondaire en réanimation (p=0,5) ou de décès (p=0,6). Conclusion L’embolie pulmonaire semble être une complication fréquente de l’infection COVID-19 sévère. Sa prise en charge précoce et adéquate a permis d’améliorer son pronostic.

6.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):140, 2022.
Artículo en Francés | ScienceDirect | ID: covidwho-1586635

RESUMEN

Introduction Il n’y a aucune preuve sur le rôle de la prise antérieure des corticostéroïdes inhalés (CSI) dans l’évolution de la COVID-19. Notre objectif était d’évaluer l’influence des CSI dans le pronostic de la COVID-19. Méthodes Une étude rétrospective étalée sur 4 mois, incluant les dossiers de patients hospitalisés dans notre service pour infection COVID-19. Nous avons divisé notre population en 2 groupes G1 : patients ayant une maladie respiratoire chronique sous CSI et G2 : patients n’ayant pas reçu de CSI. Résultats Au total, 100 patients étaient inclus dans notre étude. Quatorze pour cent des patients étaient sous CSI. Le sex-ratio dans le G1 était de 0,4 versus 1,8 dans le G2. L’âge moyen était de 57 ans dans le G1 contre 62,17 ans dans le G2. La moyenne de la saturation initiale en oxygène dans le G1 était de 84,92 % contre 85,62 % dans le G2. La moyenne du degré d’atteinte radiologique dans le G1 était de 50 % contre 44,4 % chez le G2. Il n’y avait pas de corrélation entre la prise de CSI et le degré d’atteinte radiologique (p=0,437) et la saturation initiale en oxygène (IOS) (p=0,738). Conclusion Dans notre étude, nous n’avons pas trouvé d’influence des CSI sur le pronostic de la COVID-19.

7.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):142-143, 2022.
Artículo en Francés | ScienceDirect | ID: covidwho-1586629

RESUMEN

Introduction Dès le début de la pandémie au SARS-CoV-2, plusieurs études se sont intéressées au lien entre le groupe sanguin des patients infectés et le risque de développer une forme grave de la maladie. Notre objectif était de rechercher un rôle protecteur du groupe sanguin « O » sur le pronostic des pneumonies COVID-19 sévères d’emblée. Méthodes Une étude rétrospective des patients hospitalisés pour pneumonies COVID-19 sévères entre septembre 2020 et août 2021. Nous avons divisé notre population en deux groupes : G1 patients avec GS « O » et G2 : GS non O puis nous avons comparé l’évolution secondaire de l’infection. Le pronostic de la pneumonie était évalué sur les besoins moyens en oxygène, la durée d’hospitalisation, le transfert secondaire en réanimation et la mortalité. Résultats Cinq-cent-cinquante-six dossiers médicaux ont été colligés. Il y avait une prépondérance masculine (56,5 %). La moyenne d’âge était de 61,73 ans±14,55 ans. Le tabagisme était présent dans 52 % des cas. Trente-neuf pour cent (39,3 %) était de GS « O », 37,4 % GS « A », 19,4 % GS « B » et 3,9 % GS « AB ». Il n y’avait pas de différence significative entre les patients O et les patients non O concernant les besoins moyens en oxygène (p=0,5) et la durée totale d’hospitalisation (p=0,7). L’évolution était favorable dans 84 % des cas. Le groupe sanguin O n’était pas un facteur protecteur contre le transfert secondaire en réanimation (p=0,2) ni contre le risque de décès lié au COVID-19 (p=0,3). Conclusion Notre étude n’a pas montré d’impact du GS « O » sur le pronostic des pneumonies COVID-19 sévères.

8.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):143, 2022.
Artículo en Francés | ScienceDirect | ID: covidwho-1586628

RESUMEN

Introduction La flambée importante des cas de contaminations par le COVID-19 en Tunisie a provoqué une saturation des services de réanimation. Cette situation a engendré un afflux de demandes d’hospitalisations de formes sévères à critiques dans les services de pneumologie. Le but de notre travail était de rapporter l’expérience d’un service de pneumologie dans la prise en charge des patients atteints de pneumonie COVID-19 sévère à critique. Méthodes Nous avons effectué une étude rétrospective sur des patients atteints de pneumonie COVID-19 sévères à critiques hospitalisés entre mars 2020 et juillet 2021. Résultats Nous avons colligé 577 patients avec une prédominance masculine (sexe-ratio 1,29). L’âge médian était de 63 ans allant de 18 à 98 ans. Le tabagisme était présent chez 243 patients (42 %). La pneumonie COVID-19 était modérée chez 6 patients (1 %), sévère chez 493 patients (88 %) et critique chez 57 patients (11 %) à l’admission. La prise en charge était basée sur l’oxygénothérapie (100 %), la corticothérapie systémique (95 %), l’anticoagulation et l’équilibration des tares associées. Le recours à des supports ventilatoires était nécessaire dans 26,7 % des cas : l’oxygénothérapie à haut débit dans 11,2 % des cas et la ventilation non invasive 15,5 % des cas. Soixante-deux patients avaient nécessité secondairement une ventilation mécanique. L’anticoagulation était préventive dans 72 % des cas et curative dans 28 % des cas. L’antibiothérapie était prescrite chez 9,7 % des patients devant une surinfection bronchique documentée par un prélèvement bactériologique chez 18 patients (3 %). La durée médiane d’hospitalisation était de 8jours [1–60]. L’évolution était favorable pour 484 malades (84 %). Trente et un patients avaient nécessité une oxygénothérapie de longue durée (5 %). Nous avons déploré 26 décès au service (4,5 %) et 67 en réanimation (11,6 %), soit une mortalité globale de 16 %. Conclusion Les services de pneumologie semblent avoir permis de pallier à la surcharge des services de médecine intensive en temps de crise.

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